RP H, équipe 3 à la poursuite des cries.

Assit dans son bureau le directeur attendait patiemment l'arrivée des personnes convoqués. On ne pouvait toujours par voir son visage sous son capuchon. Si on aurait put le faire, on aurait été bien incapable de comprendre ce qu'il ressentait. Debout à côté de lui, Doc compagnie était perdu dans ces pensées. Les choses étaient graves, des élèves avaient disparu. Cette fois ci ni l'un ni l'autre en était responsable. Ils avaient donc convoqué des élèves et des professeurs pour résoudre ce mystère au plus vite.

L'heure était arrivée tout le monde devait attendre devant la porte. Le directeur fit signe au Doc d'aller les chercher. Quand tout le monde fut rentré dans l'immense bureau, il imposa le silence d'un simple geste. Il prit une feuille et la donna au Doc qui se mit à la lire à voix haute.

« Je vous ai tous convoqué aujourd'hui pour une affaire grave. Des élèves de l'école on disparut. Je vous ai tous choisi pour m'aider à les retrouvés. Vous allez former trois équipes, chacune dirigé par un professeur. Vous allez avoir chacun une zone à fouiller. L'objectif retrouvé les disparues et si possible la cause de leur disparition. Bien sûr on ne vous envoie pas à l'aveugle. Nous avons déjà mené une petite enquête et nous vous envoyons dans les trois lieux on nous pensons les retrouvés. Les élèves disparut son Alexie Carhardt et Élène Mira. Chaque professeur recevra avant de partir leurs photos. Les équipes sont les suivantes.

équipe1 : Chris, Leha et Emiko dirigé par Mr Sôma. Vous aurez à fouiller les grottes.

équipe2 : Morcrake, Rina, heria sous la surveillance et Doc compagnie. Vous occuperez de chercher au tour du lac

équipe3 : Féli, Les jumelles Malléas, Alexander sous la protection Mademoiselle Natsuki. Vous chercherez dans la forêt.

Maintenant je vous souhaite bonne chance. A la moindre piste ou danger il vous suffira de siffler pour l'un de mes corbeaux interviennes et je viendrais à votre secours. De mon côté je vais continuer à chercher d'autre indice. Je ne veux aucune victime ni de blesser, donc cher professeur protéger bien vos élève. Vous pouvez y aller. »

Le directeur n'avait pas bougé d'un millimètre durant toute la lecture. Maintenant qu'elle était finie il tendit trois enveloppes au Doc. Ce dernier en donna une à chaque autre professeur. Elle contenait les photos des deux jeunes filles disparut et les instructions. Sans plus de mots, le directeur leur fit signe de sortir et chaque équipe partirent rejoindre leur objectif.

L'équipe numéro 3 arriva rapidement à la forêt. Sur place un corbeau géant les attendait. L'immense créature un plumage de nuit les surveiller de ces perle verte parcouru de vague blanche. Ils ouvrirent la lettre pour trouver deux photos et un petit mot.

Spoiler:

« Des cris auraient été entendu dans toute la forêt. Il serait possible que ce soit l'une des disparus. Retrouvé vite l'origine des cris et sauvait la personne si besoin. Le danger peut être présent, donc vos compagnons pourront combattre pour vous protéger. Pas de punition en contrepartie votre vie est plus importante. Ne vous perdait pas et bonne chance. »

Invité

Le directeur convoqua plusieurs personnes dans son bureau: élèves et professeurs dont Natsuki Oara.
L'ambiance était lourde. Quelque chose de grave s'était produit.
En effet, le directeur annonça la disparition de deux jeunes filles résidente de l'école.
En somme, il s'agissait d'une affaire des plus contrariante.
Le directeur, par le biais de Doc compagnie, ordonna la formation de trois équipes chacune dirigées par un enseignant.
Oara avait en charge l'équipe trois composée des jumelles Maléas, de Féli et d'un garçon nommé Alexander inconnu du professeur de cuisine...
Leur groupe devaient fouiller la forêt.
Un endroit favorable aux capacités surhumaines de Natsuki.
Le silence et la froideur du directeur interpella Oara, à croire qu'il s'agissait d'une statut.
Il n'empêche l'hybride était venu enseigner ici pour se la couler douce, et la voilà obliger de courir au secours de deux jouvencelles perdus.
Elle croqua dans une pomme, rêvant à sa prochaine sieste...
Après la fin d'un discours stéréotypé, l'équipe trois partit en direction de leur lieu de recherche.

Arrivée à l'orée de la forêt, un corbeau géant aux prunelles teintes vertes attendait la troupe.
Il les surveillait surement.
Natsuki ouvrit la lettre remit par le Doc précédemment, à l'intérieur était retranscrit les informations du directeur ainsi que les directives et les photos des deux disparues.
Le professeur lit le contenu de la lettre à haute voix.
Puis, Oara regarda les clichés attentivement et elle les fit passer aux autres membres de sa « meute ».

« On va devoir se battre! » S'indigna Léon.

« Toi... Te battre. »Ironisa Natsuki.

« Tu as raison Nee-san, c'est toi qui te battra. » Se rassura la peluche.

L'hybride soupira. Elle se retourna face à ses protégés.

« Bien. Comme vous l'avez compris, nous devons retrouvez Mesdemoiselles les paumées... Que se soit clair: personne ne joue au héros. Vous restez prêt de moi, vous ne me lâchez pas d'une semelle.
Deux perdus c'est largement suffisant, n'aggravons pas la situation. Mes ordres ont figures suprêmes. Je ne tolérerais aucun écart. Pas de crises de paniques, pas de compétitions, pas de disputes, rien. Vous restez soudés, solidaires et sachez faire preuves de sang froid. En cas de danger, je suis là. Quoi qu'il arrive... Pensez en premier lieu à sauver votre peau. Oubliez-moi. »Dit-elle fermement.

Les choses misent au point. La « meute » débuta sa mission.

Féli était surprise, elle avait été convoquée par le directeur. Il y avait peu de chance, mais il avait peut-être découvert le grand projet. Si c'était le cas c'était catastrophique. Arrivé au bureau elle senti la présence de son frère ce qui lui fit un pincement au cœur. Avait t'il réellement découvert ? En entrant elle fut soulagé de voir d'autres personnes ce qui montraient que se n'était pas le sujet du jour. Regardant tout le monde, elle se demandait ce qui pouvait bien ce passé. Elle ne fut pas surprise de voir son jumeau porter un regard haineux au Doc Compagnie. Quand d'autre fut arrivé, le directeur tendit un papier au Doc qui le lut à voix haute.

Etrange, il arrivait toujours de ses choses ici. Le plus étrange c'est que malgré tout l'école ne fut jamais fermée. La démone soupçonnait déjà le Doc, mais se n'était pas trop crédible. S'il était responsable de leur disparition, elle parierait qui n'y aurait pas de recherche d'organiser.

Les équipes furent annoncées. Féli soupira, pourquoi elle n'était pas dans la première ? Elle aurait si trouvé, il y avait son frère, Emiko son ange adoré, Leha qui plaisait beaucoup à ses deux dragons et Sôma son prof préféré. Quand la deuxième fut annoncée, le soulagement s'empara d'elle. Si elle se serait retrouvée avec le Doc, elle serait repartie sur le cou. Puis enfin la dernière équipe. Elle se retrouvait avec les jumelles qu'elle adorait comme si elle était ses propres sœurs. Il y avait un humain qu'elle ne connaissait pas et la prof de cuisine. Féli s'avança et se plaça entre les jumelles. Elle passa ses bras sur les épaules les collant contre elle.

-On va leur montré comme ça va être facile avec trois bombes de Rose Noire.

Le discoure terminé tout le monde sorti. Féli dévoila les Pétales de la Rose et s'envola directement vers la forêt. Deux petits dragons la suivaient tremblant comme souvent quand elle prenait ça vrais forme. Féli reprit sa forme humaine calment ainsi les deux dragons, et attendit l'arrivée du reste de la troupe. Quand tout le fut là, la prof se mit à lire une nouvelle lettre. Entendant qu'ils avaient le droit de se battre, Baste crachat des flammes de joie. Féli se mit à rire.

-N'en profite pas pour bouffé n'importe quoi.

La prof fit alors son discours. Féli éclata de rire. Mais c’était quoi ça ? Elle flippait ou quoi ? Elle ne voulait se séparé des autres. Surement qu’elle se sentait plus en sécurité entouré de trois démon et deux dragons. Franchement une louve qui avait peur en forêt, on aura tout vue. Quoi que à la voir elle semblait avoir grandi dans un vergé de pommier.

- Rassurez-vous, on saura vous protéger. Pas la peine de s'emporté. Si la peur s'empare de vous on mettra à l'abri par la voie des aires. Rassuré ?

Elle se tourna vers les jumelles toujours amuser par ce que la prof venait de dire.

-On va prendre bien soin d'elle pas vrais les filles ?

Les deux jumelles avaient été convoquées par le directeur lui-même, ce qui les fit vaciller. Lilianne ne comprenait pas pourquoi et Rikù se mit à penser à ce qu’avait prévu les autres Rose Noire. Elles n’avaient pas peur, mais juste déstabilisée. En chemin, elle avait croisé le Chris qui semblait avoir été convoqué lui aussi, ce qui ne rassura pas Rikù qui commençait limite à trembler de sa maigreur. Le pire, c’est qu’il réfléchissait tout en marchant en direction de la salle sans pour autant avoir une réaction de colère ou autre. La lenteur des deux jeunes demoiselles le fit perdre de vue mais elle n’était pas plus rassurée que ça. Rikù jetais même des regards régulièrement autour d’elle pour vérifier s’il n’y avait personne mais elles étaient bien seules, jusqu'à ce qu’elle ouvre la porte du bureau reclus…

A l’intérieur se trouvait déjà les professeurs, Chris et d’autres élèves. Rikù se sentit de suite mieux mais pas rassurée pour autant. Certes les doutes concernant le projet était partit, mais il y avait toujours la demande du directeur qui faisait flipper. Les jumelles se placèrent pas loin de Chris juste pour se rassurer en plus de se serrer l’une contre l’autre. Au fur et à mesure du temps qui passait, les gens arrivèrent les uns après les autres. Les élèves étaient au nombre de dix et les prof au nombre de trois sans compter le directeur zombiesque. Par la suite, peu de temps s’était écoulé avant qu’enfin tout le monde ne sache ce qu’il se passait.

Des disparitions dans le lycée il semblerait, et bien comme si elle avait que ça à faire ! De plus pourquoi les seuls élèves présents avaient été convoqués et pas d’autres ? A regarder juste comme ça il était difficile de deviner les critères de sélection. Le doc sûrement pour couvrir l’affaire, le prof d’art parce qu’il semblait avoir un petit truc en plus indéfinissable pour les jumelles et la louve pour ses capacités à voyager en forêt. Pour les élève difficile par contre. IL y avait des anciens, des nouveaux, des forts, des faibles… Bref tout un bordel ambulant allait tenter de faire des recherches dans des endroits paumés et sans même demander l’avis des autres. La journée semblait être longue… Un peu après la fin de l’annonce, Féli s’incrusta dans le dos des deux métalleuse et les attrapa par les épaules de façon amicale puis elle resserra l’étreinte pour mieux les avoir avec elle :

- On va leur montrer comme ça va être facile avec trois bombes de Rose Noire.

- Ouais t’inquiète ! On va clouer tout le monde sur place mes jolies !

- N’en faites pas trop tout de même…

En voyant Féli sortir ses ailes de Rose Noire, Rikù fit de même avec ses Ailes de l’éclipse néant et attrapa sa sœur. Les deux s’envolèrent vers leurs chambres pour mieux se préparer et surtout parce que ça allait plus vite qu’a pied. Arrivées, les deux se déshabillèrent pour ensuite prendre une tenue plus adapté pour les situation d’urgence ? Rikù prit une tenue en cuir style Cow-girl gothique en pantalon et Lilianne juste une jupe simple avec un maillot de bain collant au corps. Elle prirent aussi les seules armes qu’elles possédaient sans compter leur corps de démon, c’est à dire des griffes de combats qu’elle cachèrent dans un sac ? Il contenait aussi de quoi manger, boire ou faire passer le temps comme des écouteur et un Mp4.

Préparées, les deux volèrent rejoindre le point de rendez-vous suivit des deux familiers qui avaient été forcé de rejoindre leurs propriétaires. Sur place, Féli était déjà présente et vu ses habits et le peu de bagage qu’elle avait, elle avait du certainement venir se poser directement ici. Il ne restait plus qu’à attendre le pervers présumé et partir en quête de ce qu’il allait se passer. Petite erreur de jugement, la prof se mit à lire une lettre pour les élèves et leur présentait comment elle voulait gérer les choses. Mouais… Le travail d’équipe c’était pas leur fort bien que Féli était là pour compenser. De plus Rikù détestait recevoir des ordres de quelqu’un sans rechigner mais là elle n’avait pas le choix cette fois. Pendant que Lilianne donnait des ordres à Lahia, Rikù ordonna à la chauve-souris de reprendre sa forme à demi-humaine pour combattre si besoin est. Elles ne firent pas attention que Féli se mettait à rire de coté tellement elle s’impliquer à ce que tout se passe bien. Une fois les préparatif avec leurs compagnons terminé, Féli se rapprocha d’elles et leur parla avec encore un air amusé sur le visage :

- On va prendre bien soin d'elle pas vrais les filles ?

- Et comment ! Personne ne fait du mal à personne sans mon autorisation ou je les fais souffrir grave !

- Allons allons on se calme ma belle. On est la meilleure équipe alors personne ne nous fera du mal.

Suivant ses paroles, Lilianne embrassa sa sœur encore une fois et ensuite ce fut au tour de Féli qui ne semblait pas s’y attendre du tout. Elle prétexta que c’était pour "lui donner de la force et du courage". Bien que ce ne fut pas loin de la vérité vraie, le vrai sens était bien sûr de profiter du contact des lèvres de Féli pour la première fois depuis son arrivée. Avant leurs séparations, il arrivais que ce genre de contact arrive mais plus maintenant. Lilianne était au courant pour Emiko mais elle tenait toujours à rendre Féli de bonne humeur.

Rikù de son coté prenait un air blasé en regardant sa sœur faire ce genre de chose à tout va avec toutes les Rose Noire et sans imaginer que du monde pourrait être gêné. Tout en laissant ses menottes relier le contact avec sa sœur, Rikù alla trouver la prof qui semblait les attendre. Pour une fois, elle tentais de faire preuve de bon sens sans agression pour elle :

- Désolé mademoiselle mais ma sœur est toujours comme ça. Je pense que vous l’avez remarqué de toute façon hein ? Bon sinon c’est quand vous voulez que l’on part. Je m’ennuie déjà et je tiens à en finir avec ça.

Peu de temps après, Lilianne arriva en petites foulée pour rejoindre sa sœur et fit signe à la prof qu’elle était prête. Devant elles, ce n’était plus la prof de cuisine mais une "adulte responsable" qui devait les guider et les protéger. Les familiers était là aussi mais la prof devrait être bien plus forte qu’elles non ?

Invité

Les élèves ne prenaient pas au sérieux les paroles de Natsuki.
Surtout le démon Féli, la miss semblait moins déprimée que précédemment.
Ils pensaient que Mademoiselle Oara craignait pour sa propre vie?
Pitoyable. Et ces filles paraissaient trop sure d'elles, cela pouvait devenir handicapant, voire dangereux.
Une des jumelles prit même le temps de câliner les membres de l'équipe...
Sa sœur avec.
Ils avaient vraiment de drôle de rapports entres eux...
La Rose Noire, le fameux groupe de rock dont Natsuki ignorait l'existence il y a peu.
Ces filles faisaient partis de ce groupe....
Bref, Natsuki regarda avec attention l'orée de la forêt humant les odeurs que lui faisait parvenir la brise légère...
Elle cherchait une quelconque trace des disparus.
A l'affut du moindre bruit, ses oreilles s'agitèrent et finirent par s'aplatir sur son crâne. Déterminée.
Oara écouta les paroles prononcées par Rikù...

- « Les montées hormonales de votre sœur son sans intérêt pour moi... C'est bien sympathique à toi de t'excuser néanmoins... Presser dans finir? Vous étés bien naïves de penser que je m'inquiète pour ma propre vie... Soit. Je vais de ce pas vous rassurer... »

Les pupilles de Natsuki se dilatèrent soudainement, la noirceur englobant la teinte carmin de ses yeux...
Elle retira négligemment, sans préavis, sa tunique et la fourra sans ménagement dans les bras de Rikù...

- « Soit gentille et garde moi ça Chérie... Je ne le répéterais plus, mes ordres sont absolus. Ah. Aussi, pour communiquer avec vous, je passerai par Léon... » Dit-elle en pointant du doigt le lion en peluche.

- « Chouette je reprend du service de traduction! »Beugla la créature orangée.

Ses cheveux cachaient en partie sa poitrine.
Oara enleva son dernier vêtement.
Elle remit sa culotte à Rikù.

Natsuki serra sa mâchoire et se transforma en une fraction de seconde dans un douloureux craquement sonore...
Une louve faisait maintenant face aux autres membres de la troupes.
Une énorme bête, surplombant de sa taille les élèves au combien ridicule à ses côtés.
Oara s'ébroua, et lécha gentiment la joue de Rikù. Taquine...

Léon grimpa difficilement sur le dos de Natsuki.

- « Venez les filles! On ira plus vite sur son dos. Et puis, vous allez voir, c'est cool comme moyen de transport. » Dit le mini lion.

Féli qui se sentait étrangement de bonne humeur fut prit par surprise. Lilianne comme à son habitude embrassa sa sœur, mais ce qui la surprit c'est qu'après se fut son tour. Elle ne s'y était pas attendue du tout. Son premier baiser depuis un moment. Sa surprise ne s'arrêta pas là, voilà que maintenant la prof faisait un strip-tease. Féli ne rata pas une miette du spectacle, c'est qu'elle à un joli corps la prof. Elle ne put se retenir de sifflet d'admiration. Ecoutant ce qu'elle raconta il était facile de comprendre qu'elle allait se transformer. La peluche allait faire la traduction. La prof se transforma alors, la taille de cette dernière était impressionnante. Elle fut amusée en voyant Riku se faire léché la joue. Féli commençai à bien aimer cette prof. A écouté, elles devaient toute monter sur son dos. C'était une louve ou une jument ? Féli monta la première et tendis la main pour aider ces amies à monter.

-Je reste devant les filles si ça ne vous dérange pas.

La vue était étrange, c'était un point de vue inhabituel pour une balade en forêt. Les arbres dominaient toujours au-dessus d'elles. Le sol lui pars contre était bien bas. Féli remarqua Baste qui était en train de manger un truc. Surement qu'il avait attrapé un écureuil, il ne pouvait pas s'empêcher de manger celui là... Elle s'amusa à frotter la tête de la prof.

-C'est quand vous voulez.

Elle se demanda à qu'elle vitesse la prof se délacé sous cette forme, surtout avec trois jeunes filles sur son dos. Les deux petits dragons se dépêchèrent à la rejoindre, il ne fallait qu'ils la perdent de vue.

La prof rigola de ce qu’avais dit Rikù. Non pas des mots ou de la façon plutôt froide dont elle l’avais dit, mais plutôt la tournure de la phrase. Elle cessa par contre quand il fallut qu’elle l’ouvre pour dire de ne pas s’inquiéter pour elle. Et bien elle allait être servit si elle ne voulais pas être protégée car Rikù ferait tout pour le faire. Etant donné qu’elle ne supporte pas que l’on fasse du mal à quiconque, elle allait désobéir c’est sur. Rikù, la rebelle des Rose Noire qui était aussi celle qui défendais le plus le groupe de manière physique. Elle avait beau être la plus énervante et la plus bourrine du groupe, elle avait un cœur et elle se contentait de lui obéir non mais !

Puis un pull venait à tomber dans ses bras, par pur réflexe elle tendit les bras pour attraper le vêtement. Elle regarda d’où il venait et s’aperçut que la prof se foutait à poil sans raison. Comme si elle pressentait quelque chose, Lilianne tourna machinalement la tête vers elle, presque en même temps que Féli. Elle n’en cru pas trop ses yeux mais profitais de la scène. Une belle prof qui se déshabillait sous ses yeux était quelque chose qu’elle n’allait pas rater et sous aucun prétexte. Chaque vêtement y passait jusqu'à même sa culotte. Rikù poussa un léger rougissement en se la prenant en pleine face mais personne ne pouvait le voir alors ça allait. Y’en à une qui allait se faire plaisir si jamais Rikù aurait le dos tourné…

Juste avant que la prof se transforme, et au moment où elle avait finit son strip, Lilianne ne put s’empêcher d’applaudir tandis que Féli sifflait de bonheur. Elle fut par contre en partie déçue en voyant qu’elle prit sa forme animale et quelle forme ! Un loup géant aux allures limite royale ça faisait plaisir à voir en sachant qu’il est de notre coté. Sans qu’elle s’y attende, Rikù se fit lécher la joue par l’animal avant qu’elle ait eut le temps de rechigner. Elle fit néanmoins une moue énervée plutôt comique à voir surtout qu’elle ne pouvait pas bouger les bras à cause des vêtements. Elle finit par les mettre façon "linge qui sèche" et grimpa sur son dos, juste après Féli et Lilianne :

- Tout le monde est prêt ici. Faut régler cette affaire au plus vite alors on part quand vous voulez.

- Ouais. Et les Rose Noire sont prête à se fritter pour vous. Lets go !

Juste avant que le départ fut imminent, Lilianne qui se trouvait être celle qui était placé au font attrapa les deux autres filles pour les câliner à nouveau. Rikù se sentait écrasée et Féli avait une paire de mains pas très loin de sa poitrine. Sauf que tout le monde semblait avoir oublié les familiers des deux jumelles métalleuse. Lahia c’était rangé dans le décolleté de sa propriétaire et Rikéru sur la tête de la sienne. Petit détail, elle avait le sourire aux lèvres car elle venait de faire une nouvelle acquisition. Elle venait de planquer la culotte de la prof sans que personne ne s’en aperçoive et elle comptait bien revenir ici pour la rajouter dans son butin. Elle allait encore se prendre une de ses roustes quand Rikù allait s’en apercevoir…

Invité

Les trois filles grimpèrent sur le dos de Natsuki.
Féli en tête, elle c'était fermement agrippée et observait les alentours.
La Louve renifla le sol, pistant la moindres traces susceptibles de les conduire aux disparus.
Sachant ses élèves bien placées et en sécurité, Oara s'avança et entra dans la forêt.
La végétation denses ne laissaient filtrer que peu des rayons du soleil, plongeant les habitants de la forêt dans une ambiance mystérieuse.
Natsuki marchait lentement, zigzaguant entre les arbres, le museau vers le sol humide et fournis, couvert de branchage, de racines, de feuille et de jeunes pousses.
Un léger son remonta de la gorge de la porteuse...

« Gardaient les yeux bien ouvert. Il pourrait y a avoir un indice ou une trace du passage des disparus. » Traduisit Léon.

Oara continuait son chemin à bonne allure, cherchant toujours un signe qui pouvait l'amené aux paumées.
Un bruit, venant de derrière un amas de branches, fit stopper net la Louve.
Un chien errant apparut la queue entre les jambes, tremblant.
Natsuki se détendit, reconnaissant un cousin éloigné canidé. Elle Grogna doucement, en réponse le cabot se roula sur le dos, montrant son ventre en signe de soumission.
Un dialogue canin s'installa, ponctué d'une gestuelle compliquée et de petits sons en tous genre propre à leur race...

« Natsuki lui demande, si par hasard, il aurait entendu les fameux cris... Si je saisis toute la conversation, le chien aurait bien une ouïe des cris. Par contre, il n'aurait rien vu. Dommage. Il est en train d'expliquer d'où provenait les cris. »

Léon sautilla sur la tête de son amie tout excité.

« On a enfin une piste à suivre. C'est pas trop tôt. » Beugla le mini lion.

L'informateur partit, le « convoi » reprit sa route.
La louve restait sur ses gardes, cette histoire était louche...

Je me remémore trop souvent son visage depuis deux jours. Son visage remplit de sang. Son visage terrifié qui murmura : Fuis ! Avant de s’éteindre pour toujours. Et avant de s’éteindre, il me fit rappeler avec dégoût la mort de mes parents. De celle de mon frère. Tiens, d’ailleurs, comment ai-je pu donc inscrire qu’elle m’a murmuré quelque chose avant de mourir ? Eh oui, je suis sourde … Vous êtes gentil, vous le direz pas ! Quoique je ne pourrais toujours pas entendre … Rah ! C’est attristant. Bien, puisque vous êtes bien partis pour lire dans mes pensées pendant un bon moment, je vais vous dire tout ce que j’ai fait depuis deux jours, bande de voyeurs !

Tout a donc superbement commencé il y a deux jours. Admise à Orkna, un établissement de gens bizarres créé par des gens bizarres qui m’ont assuré qu’ici, personne ne se moquerait de ma surdité et du fait que je sois une Ange. Mon frère a aussi pu m’accompagner. Mais, pour faire ‘bien’, nous avons laissé Kara, sa fée folle à lier, à une vendeuse d’animaux qui me promit de m’occuper d’elle le temps que je m’installe. J’avais eu le droit de garder Sombrero avec moi. Peut-être qu’ils l’ont pris pour une peluche … Bref. J’ai franchi le seuil de l’établissement avec mes bagages et mon familier. On ne peut pas vraiment dire que mon frère ait franchi le seuil … Enfin, j’étais presque arrivée au dortoir, du moins, je flânais sur les berges d’un lac paisible avec mon équipement et au détour d’un buisson, un visage charmant ensanglanté qui tressautait par terre. J’ai déposé mes bagages près du reste de son corps, et je suis partie dans le bois le plus proche, précédé de mon frère translucide, et mes bras toujours tenant Sombrero contre mon cœur qui battait à … beaucoup trop vite. Il semblerait que j’ai pas mal hurlé, aussi, si j’en crois mon mal de gorge. Tout en priant pour que le bois soit une forêt bien épaisse, je m’y enfonçais avec autant d’allégresse que j’en aurais eu pour marcher dans une petite rue pavée charmante, bordée de maisons multicolores. Bon. Il semblerait donc que j’ai eu mon quota de traumatismes pour le restant de mes jours.

Je remerciait aussi infiniment le Sensei de mon dojo qui nous avait envoyés pendant deux semaines faire un stage de survie en forêt. On y avait appris énormément de choses, notamment comment se déplacer sans bruit et sans laisser de traces. Pour une traque … ou une fuite, semblerait-il. Donc, je suis partie en courant dans ce bois. Flippant, ce bois. Mais, en même temps, je ne pouvais pas deviner si quelqu’un chantait ou si l’atmosphère était silencieuse à en mourir.

Je suivais mon frère depuis une bonne demi-heure, en mode course effrénée, j’haletais comme un buffle, et je me suis retrouvée dans une minuscule clairière, assez grande pour voir le ciel. Mais assez grande pour me faire repérer. Je virais à droite et marchais cinq bonnes minutes, à l’affût d’un arbre touffu aux branches qui me permettrait de l’escalader. Non, il ne m’est pas venu à l’idée de déployer mes ailes blanches. Tout simplement parce que c’est une chose que j’ai très peu faite dans mon autre Monde. Une fois un arbre centenaire pouvant m’accueillir entre ses branches en vue, je m’y dirigeais. C’était l’un des plus haut et plus épais que j’avais croisé dans ma fuite. Mais en même temps, alors que la tête de la fille me fixait, il m’avait semblé se mouvoir pas loin quelque chose, car les buissons avaient bougés … Folle, je suis folle ou paranoïaque.

Je posais doucement Sombrero près du pied de l’arbre, et commençait à y grimper. Les nombreuses heures passées dans ce dojo avaient forci mon corps et mon mental. Un arbre tel celui-ci ne m’effrayait pas. Adam triturait ses cheveux transparents avec ses doigts tout en m’indiquant des prises sur l’arbre et en tournant autour afin de vérifier que personne ne s’y trouve. Heureusement qu’il est là. Sinon, je pense que je serais en hôpital psychiatrique, en dépression, ou même que je me serais donnée la mort. Mais la vie vaut plus que ça. La vie vaut la peine d’être vécue. Mouais, c’est moi qui dit ça en ne prévenant personne qu’une fille est morte et en préférant m’enfuir dans les bois. Je suis assez logique, comme fille.

Une fois calée entre deux branches moussues, au-dessus de la cime de la plupart des arbres, j’étais à un stade parfait : le stade qui permet de ne pas se faire repérer par le sol, ou par les airs. Enfin, j’avais faim, et soif. Sombrero apparut bientôt à mes côtés (il est plein de ressources !), son chapeau vissé sur sa tête. Il se blottit dans mes bras, pour récupérer. Je pense qu’on s’est endormis, après. Je me souviens de m’être réveillée en pleine nuit à cause d’un hibou qui est passé trop près de ma tête. Je me réveillais, entraînant Sombrero avec moi, et cherchais mon frère des yeux. Sa pâleur m’apparut bientôt dans la nuit noire, et je lui demandais :

- T’as à manger ?

Ma capacité à papoter n’a pas été entamée au même point que celle à écouter. Mon frère me signa rapidement que non, en même temps un fantôme n'a pas forcément envie de manger, mais que Sombrero pourrait me trouver à boire. Il contrôle suffisamment l’Eau pour qu’elle vienne à lui. Sombrero me regarda d’un œil vide, et je repris à voix haute :

- Tu nous trouves à boire ?

Il devient alors parfaitement réveillé, et composa quelques mouvements propres à lui. Rapidement, telles des paillettes, la rosée des feuilles qui nous entourait se rassembla dans le creux du chapeau qu’il tenait entre ses mains, comme un bol. Il me l’offrit, tel un vieux professeur animal chinois, et je le remerciais, avant de vider l’eau dans ma bouche.

Bref, on a passé deux jours et autant de nuits comme ça, sur un arbre. Autant dire qu’une douche s’impose. De manger s’impose. De descendre courir s’impose. De revenir dans un vrai monde s’impose. Et Kara et sa folie me manque, je dois l’avouer. Bref, vivre me manque. Et si je descendais de cet arbre ?

Mauvaise idée. Il y a pas mal de mouvements dans les buissons qui sont au pied de cet arbre. Et comme je peux rien entendre et qu’Adam est parti chercher de la nourriture pour moi, je ne peux faire que rester. Bon, bien sûr, je pourrais voler de mes propres ailes, mais je vous l’ai dit, je ne l’ai jamais fait, réellement. En fait, je ne peux ni fuir ni rester … Cruel dilemme. Attendre ici est tout aussi dangereux que bouger.

Assise sur le dos de la prof Féli regardait au tour d'elle. Dans sa tête elle se demandait pourquoi elle était là. La prof à elle seul faisait presque tout le boulot. Elle les transportait et cherché avec son flaire animal. Les trois démones regardait au tour d'elles, mais peu de chance de voir une trace à cette vitesse. Finalement la prof s'arrêta. Un chien sorti d'un buisson. Féli fut amusé par son comportement. D'après la peluche les grognements du chien et ceux de la prof avait un sens. Pendant le dialogue canidé, Féli s'ennuyait et avait de plus en plus envie de partir. Alors qu'elle allait annoncer aux jumelles qu'elle s'ennuyait, la route reprit. Elles avaient une piste ? Peut être enfin de l'action.

De leur côté les deux dragons avaient aperçu un truc appétissant. Une petite créature s'enfuyait poursuivit par les dragons qui avaient faim...encore. Finalement la petite bête avait réussi à se cacher entre les racines d'un arbre. Baste voulait cramer l'arbre pour attraper la proie dessous, mais Eclat lui rappelât les risques si leur maitresse l'apprenait. C'est à se moment-là qu'ils réalisèrent tous les deux qu'ils venaient de la perdre. Ils allaient encore se faire crier dessus. Très vite ils s'envolèrent pour la retrouver cherchant partout. Après plusieurs minutes de vadrouille entre les arbres et les buissons, regardant même dans des trous pour voir si elle y était cachée, ils finirent par trouver un grand buisson au pied d'un arbre. A l'intérieur, bien sûr il n'y avait aucune démone. S'envolant pour sortir des branchages du buisson, les deux dragons s'aperçurent qu'on les observé depuis l'arbre. C'étaient une fille et une bestiole qui avait l'air bonne une fois passé au feu. Mais encore une fois la peur de leur maitresse les retenus. Il ne fallait pas manger les bestioles qui se trouvaient avec leur maitre ou maitresse.
Ils restèrent donc la à les observé se demandant ce qu'ils faisaient dans l'arbre.

Féli continua à regarder tout au tour d'elle cherchant un indice. Au moins la promenade sur le dos de la prof était amusante. Elle commençait même à y prendre gout. Féli remarqua alors que Baste et Eclat avaient encore disparu. Elle se retourna vers les jumelles.

-Vous avez vu où sont partie mes deux ventres volant ?

(Désolée mais aucune idée.....)

Les jumelles sur le dos, cherchaient d’éventuel indice, mais rien… De toute façon vu la hauteur, pas grand chose était visible. Au bout d’un moment, seule une petite piste se fit sentir. La prof avant et un clébard mort de trouille apparut. Aucune des deux jumelles ne sut quoi dire ou faire vu que qu’elles ne comprenaient rien à ce qu’elle disait. Même si Rikù ne pouvait pas voir le visage de Féli ou de Lilianne, ça se sentait clairement que tout le monde s’ennuyait à en crever… Au bout d’un moment, celle-ci se mit à chercher quelque chose. La jumelle aux cheveux argentés, agacée, ne pt s’empêcher de grogner :

- Purée mais t’as la bougeotte Féli ou quoi ???

- Vous avez vu où sont partis mes deux ventres volant ?

- Moi ? Non…

- Moi non plus Féli. Ils ont dut partir chercher à manger. *sourire*

En guise de réaction pour démontrer un ennui mortel, Rikù s’avachit sur Féli mais toujours en tenant les vêtements de Natsuki. Donc en résumé, c’était pas la joie tant qu’il n’y avait pas d’action… Au bout d’un moment, Rikéru s’agita, dressant ses oreilles de chauves-souris. Elle envoya des ultrasons pour vérifier quelque chose et se posa sur la tête de Natsuki sans prévenir :

- Madame ! Madame ! Y’as de gens pile devant nous !

Invité

Natsuki suivait depuis un moment déjà la piste indiqué par le chien.
Les filles sur son dos fatiguaient et s'ennuyaient, surtout.
La louve sentait que l'odeur intensifiait, elle était proche du but.
Elle demeurait à l'affut du moindre indice, oreilles dressées, vision ouverte, vive.
Ses pas feutrés laissaient entendre le bruit des feuilles mortes, craquelées au sol, broyées dans la terre.
Retour au source, étant tomber de haut, les revoilà chez « maman ».
Prédateur, le silence se faisait sur ses traces, laissant juste les marques de son passages.
Elle régnait en maître sur son domaine, forêt vestige de ses ancêtres, souvenir de son enfance.
Oara, dans sa forme la plus primaire, était bien plus que libre.
Ses frontières de cette manière n'avaient aucunes limites, car aucunes loi humaine ne venait l'entraver...
La Louve inspira de ses narines de canidé. Elle se retrouvait.
Les Hommes sont bien trop compliqués, pensa-t-elle.

Les cris de Riku la sortirent de ses songes. La Démone avait capté quelque chose par ultrason.
C'était très certainement cela qui l'avait déranger un peu plus tôt.
Elle s'ébroua, repoussant la jumelle sur son dos et dégageant Léon du poids de la jeune fille sur son pauvre corps...
Natsuki accéléra le rythme mais pas trop non plus, restant prudente.
Elle arriva face à un grand arbre, un chêne, majestueux.
La Louve leva les yeux vers la cime, une des jeunes filles disparu se trouvait au sommet, à semi cachée dans les branchages...

- « Mademoiselle!! On est venu vous sauver!! » Gueula le mini lion.

J'étais toujours sur mes branches, cinq minutes plus tard. Toujours à me questionner sur ma volonté qui me poussait à descendre, et ma raison qui préférait attendre. Ce fut le destin, je pense, qui metta un terme à tout cela. Tout se passa assez vite. Des bruits, pas vraiment distincts, se faisaient entendre ici ou là. Je me tassais et me ratatinais un peu plus sur ma branche, espérant devenir aussi invisible que mon frère, qui m'avait signalé ce qu'il entendait.

Mon frère est un fantôme quelque peu spécial. Il pourrait être comme tous les autres, un esprit humain coincé dans le monde humain avec, généralement, une tâche à finir, et la plupart du temps, ils sont visibles assez nettement aux yeux de tous, même si on reconnait aisément la différence entre un human et un spectre. Non. Mon frère n'est pas vraiment comme ça, je le sais d'expérience. Il ne se montre, ou plutôt, il n'est visible que par certaines personnes. Très peu l'on vu sous sa forme de fantôme. La plupart du temps, c'est lorsqu'il ressent et voit qu'une personne éprouve et prouve son affection envers moi. Ou envers lui. Je ne sais pas trop comment il gère cela, mais je suis généralement la seule à pouvoir lui parler. Et cela n'a pas d'importance si l'autre qui voudrait me parler est un elfe ou un ange. Je ne suis pas certaine que même les autres fantômes peuvent le voir.

C'est assez pratique, pour moi. Cela permet de cacher que je ne suis pas tout à fait normale. Il se poste devant la personne qui me parle, et par transparence, je peux voir les deux. Et si la personne humaine me parle, je peux le comprendre de deux manières : soit j'essaye de lire sur les lèvres de mon interlocuteur, et je suis pas vraiment douée pour ça, soit je déchiffre les signes que mon frère fantôme signe à mon intention. Et comme je n'ai pas perdu la parole malgré l'accident, je peux répondre à celui qui me parle.

Je n'ai pas perdu la parole, oui. D'un, parceque mon traumatisme qui a déclenché ma surdité était brutal, et aussi parceque j'avais acquis la parole et la formation des mots et des lettres, et des sons. Il a fallu que je travaille là-dessus également ... Car il faut ressentir chaque son comme une vibration. C'est plus facile pour une personne qui a déjà entendu, que pour une personne sourde de naissance. Il existe ensuite des appareils qui permettent de réécouter, et à fortiori, pour les personnes muettes, de former des sons, puis des mots.

Un mouvement dans le buisson en dessous mon arbre centenaire. Mon frère détourna mon attention au profit d'un curieux moyen de transport qui avançait jusqu'à moi. Ce qui semblait être un loup avait, perché sur son dos, trois jeunes femmes, toutes en partie dévêtues. Elles arrivèrent bien vite à côté du buisson, et malgré toutes mes espérances, je n'étais pas devenue invisible. Mon frère, qui lui l'était, se plaça entre elles et moi, et commença à me signer qu'ils étaient venus me secourir. Mon frère pencha légèrement sa tête sur le côté, et continua en me confiant ses craintes. Je savais ce que je devais dire. Ou plutôt répondre.
- Comment pourrais-je vous croire ?

Au pied de l'arbre, Baste et Eclat observaient toujours. Finalement il semblerait que la fille et la bestiole ne les avaient pas vu. En réfléchissant, ils se rappelèrent que leur maitresse cherché quelqu'un. Si c'était la personne qu'elle cherchait qui se trouvait dans l'arbre, ils pourraient l'attendre et montré qu'ils l'on trouvaient et du cou ne pas se faire crier dessus. Du coup ils se posèrent sur le sol pour attendre.

Féli et les jumelles se tenaient toujours sur le dos de la prof. Lilianne et Rikù lui dirent qu'elles n'avaient pas vu les deux dragons gloutons. Quand elle les retrouvera elle allait encore les engueulé. Féli soupira et laissa Rikù s'appuyer contre elle. La prof repartie il semblerait qu'elles approchaient du but. Même Rikèru semblait avoir repéré quelque chose. Finalement la course se termina au pied d'un arbre. Féli descendit regardant ce qui l'entourait. Dans l'arbre se trouvait l'une des filles de la photo. A coté se trouver les deux dragons qui étaient bien joyeux. Féli souri, au moins ils avaient trouvé la fille, même si elle se doutait que c'était par hasard.

-Regardez qui est arrivé en premier.

Elle leur fit signe de la rejoindre, ce qu'ils firent heureux de ne pas s'être fait crier dessus. La démone regarda alors dans l'arbre comme tout le monde. La fille ne semblait pas convaincue. Elle leur demanda comment elle pouvait nous croire. Il est vrai que personne ne la connaissait donc arriver et dire qu'on vient la sauvé, pouvait lui paraître faux. Féli se tourna vers la prof. On peut toujours lui montrer la lettre.

(Désolée mais je ne suis plus inspirée pour faire ce roleplay.....)

Les jumelle s'ennuyait toujours, jusqu'à ce que Rikéru crie. Juste devant, les deux dragons de Féli et une fille à première vue vu la tenue. Quand tout le monde fut à l'arrêt, Lilianne suivit Féli alors que Rikù soupira de garder les fringues. Quant à sa chauve-souris insolente, elle tomba des gestes de la prof. Elle l’insulta en ultrason mais celle-ci ne semblait pas s'en soucier vu son air de loup dominant. La jumelles aux cheveux rose sourit aux paroles de sa bien aimée et ajouta même un commentaire :

- Ils ont eut de la chance tes lézards Féli.

Ceux-ci semblait content d'avoir retrouvé leur maîtresse, mais pour s'être éclipsé une punition allait sûrement venir. Rikù qui à son tour fut descendue, elle remarqua la fille en haut. D'un geste à sa sœur, elle la désigna pour lui montrer. Elle attentèrent que quelque chose se passe...

» RP H, équipe 1 à la recherche de la créature.
» RP H, équipe 2 sur les traces du sang.